lundi 25 juin 2007
dimanche 24 juin 2007
La tribu aime les sushis . . .
Ces documents sont le temoin d'une époque, celle où la Tribu sort enfin de sa nymphe, alors qu'elle n' était qu' un noyau d' abricot, elle va alors devenir un magnifique sequoia male. Ce noyau vous l'avez devant vous ( en partie ). Il est constitué de G-con et J-con ( on n' oublie surtout pas C-con ainsi que M-con ). Cette histoire jusqu'alors resté aussi secrete que la vie de Jean-René Trouffion, employé à la Poste de 1949 à 1973 et qui se maria... enfin bref. Leur amitié n'avait que quelques années mais elle possédait déjà toutes ses dents, ils vivaient leurs premières fêtes et L-con ( alias Laurent-con ) s'y illustrait particulierement. Comme par exemple le jour où dans un état particulierement avancé il executait des pas de danse digne de Fred Aster.
Il enchainait Tango, mambo ainsi que salsa et valse à la perfection. Vers 00h17 il etait deja cliniquement mort : sa fougue l'avait amené à se briser la nuque. Aujourd'hui il repose à la droite du Seigneur et si le ciel le veut, il est son danseur personnel et prends regulierement un verre avec Jesus. En tout cas il peut etre fier d'avoir contribué a la creation de la Tribu, véritable institution, au meme titre que la FFR ou la CFDT.
vendredi 22 juin 2007
La fête de la musique, ça chlingue . . .
Playlist :
- I tought that - Boris Duglosh
- I'm not a scoobidoo - Fat Dog
- Cream - Federico Franchi
- Kryptonite - DJ Gero
- Elements of trance - DJ Oni
La banalité de cet article est à désespérer . . .
Problème existentiel n° 3 : vivre avec un coupe afro 1/4 beninoise 1/4 allemande 1/2 française ! ! !
- Tu sais ce que tu fais ce soir ?
-Non . . . Jeannot on fais quoi ce soir ?
- On va voir Alex . . .
- Voila, je sais ce que je fais ! ! !
mardi 19 juin 2007
Il n'y a pas d'hommes impuissants, il n'y a que des femmes fainéantes...
Guigui-con, c'est un peu le 5ème mousquetaire, c'est aussi le 13ème doigt de la main, ou encore la troisième testicule (mais la c'est plus subtil donc si vous bloquez, passez à la suite).
Bref Guigui-con, c'est l'exeption qui confirme la règle : les cons devaient être 5 (un pour chaque lettre) avec Guigui-con, ils seront 4, ainsi en a décidé Jeannot-con... Hé oui, charmé par la candeur et la délicatesse de ce petit bout de vie, Jeannot-con décida il y a quelques années de prendre Guigui-con, qu'il appellait alors le "Beunet", sous son aile. Avec Guigui-con, Jeannot-con (aidé de ses fidèles compères Charly-con et Milka-con) dut tout redémarrer à partir de zéro.
Roman Salzger - Turn up the sun
Il lui enseigna comment bien uriner, ses techniques pour mettre un tampon, saluer les gens dans la rue (un signe de tête pour les hommes, un clin d'oeil et un délicat geste de la langue pour les femmes), ou encore les differentes façon de jouer avec un poisson rouge. Tout de suite il décela les capacités hors du commun de Guigui-con lors des cours de drague. Et ses progrès se faisant de manières fulgurantes, il décida de l'introniser membres de la tribu des cons.
Jesus Christ et la caravane passe...
lundi 18 juin 2007
Si les femmes étaient bonnes, Dieu en aurait une . . .
"In-sé-pa-rable", c'est le premier mot qui vient à la bouche de MEME (à prononcer meuhmeuh) quand l'oeil malicieux, carressant affecteusement son bébé ours Slovène, il nous evoque ses deux plus grandes fiertés: Thallia et Cunégonde, ses deux bonnes grosses bites avec lequelles il a moissoné un bon paquet d'cul!
Hé oui chers(es) lecteurs(trices), MEME a non seulement deux sexes, mais de plus, il marche avec! Comme vous pouvez le constater sur cette photo (prise juste avant son epilation quotidienne) cela n'est pas facile tous les jours pour MEME. En effet, c'est surtout les camarades sexuelles de notre Prophète qui beneficient des moultes avantages de Cunégonde (bite gauche) et Thallia (bite droite), car pour MEME c'est un tout autre conte pas forcément enchanté...
Rhianna - Don't stop the music
Hé oui, un oeil n'est pas un femur, une pomme de terre n'est pas une patate, et qui plus est, deux phalus ne sont pas deux jambes! Nan sa vie n'est pas conte de féé, bien au contraire, pour etre debout il faut bander et la mi-molette contraint à la position assise ( jeune femme si MEME n'est pas au garde vous quand il vous parle c'est que vous n'etes pas sa tasse de thé ). Je ne vous parle pas non plus de l'impossibilité de porter des shorts ou des sandales sans chausettes, des nuisances sonores inévitables qu'entraine une fellation à 15 ou encore des faces moqueuses de ces enculés de batards de cordonniers ne faisant aucun effort de compassion lorsque MEME se fait faire ses chaussures. Pour finir c'est naturellement sur un proverbe du maitre que je vais vous laisser: "faut pas sortir le fusil tant qu'on a pas vu le cul du grizzly" . . .
- Le champagne vous rend jolie.
- Mais, je nen ai pas bu une seule coupe !
- Oui, mais moi jen suis à ma dixième.
- Le champagne vous rend jolie.
- Mais, je nen ai pas bu une seule coupe !
- Oui, mais moi jen suis à ma dixième.
dimanche 17 juin 2007
Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette ! ! !
Soirée grandiose ! ! ! Le mot est terriblement faible. Merci Vic pour cette soirée mémorable. Petit flashback pour ceux qui n'ont pas été invités. Arrivé 20h, la banalité des propos entretenus par l'assemblée étant afflieante, chacun s'est affairé à vider sa bouteille de Cabernet d'Anjou le plus rapidement possible, pour surtout ne pas avoir à parler ou répondre. C'est alors que l'heure fatidique de 20h30 arriva. Les cerveaux déjà bien embrûmés, n'ont pas empeché certain de se mettre à danser. 21h fut l'heure de souper (on remerciera tout particulièrement ZOCCO qui pour nous montrer qu'il avait bien mangé, a refait tous les lavabos de la maison ainsi que la moquette de la grand-mère ... par chance, elle est bigleuse). Dieu a dit : "tu aimeras ton prochain comme toi-même", c'est vrai. Mais Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie, et puis je préfère moi-même, c'est pas de ma faute. Finalement, le soirée s'est terminée en orgie collective. Jte souhaite...
dimanche 10 juin 2007
Envie subite...
Juste se poser au Luxembourg, avec un bouquin et le soleil. Puis marcher. Avec le soleil dans le dos, croiser des centaines de personnes, musique fixée aux oreilles. Du vrai son dans les oreilles. Cette situation me rappelle des réels moments de bonheur avec A. Je me poserai toujours la question de savoir pourquoi je l'ai laissée partir... Je suis vraiment un con !!
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